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Dean Huijsen, la tentation madrilène

10 avril 2025
Rédaction Le Journal du Real
BOURNEMOUTH, ENGLAND - DECEMBER 16: Dean Huijsen of Bournemouth in action during the Premier League match between AFC Bournemouth and West Ham United FC at Vitality Stadium on December 16, 2024 in Bournemouth, England. (Photo by Mike Hewitt/Getty Images).

Révélation de Bournemouth et néo-international espagnol, Dean Huijsen attise les convoitises. À seulement 19 ans, le défenseur central impressionne au point d’éveiller l’intérêt du Real Madrid, une perspective qu’il n’élude pas sans pour autant s’y jeter à corps perdu.

Du haut de ses 1,97 m, Dean Huijsen ne passe pas inaperçu. Formé à Malaga, titulaire à Bournemouth en Premier League, il vient de connaître ses premières minutes avec la Roja contre les Pays-Bas. De quoi faire briller quelques yeux… jusqu’à Madrid, révèle MARCA.

Dans l’émission El Chiringuito, animée par Josep Pedrero, le jeune défenseur a reconnu : “C’est un honneur qu’un club aussi grand que le Real Madrid s’intéresse à toi.” S’il reste évasif sur son avenir “Est-ce que je veux jouer au Real ? Je ne sais pas, on verra”, Huijsen ne cache ni son admiration pour les Merengue, ni pour Carlo Ancelotti : “Il n’est pas là pour rien. C’est un très bon entraîneur.”

Une clause à 60 millions d’euros pour Huijsen

Sous contrat avec Bournemouth jusqu’en 2030, Huijsen a confirmé disposer d’une clause libératoire. “Je sais que j’ai une clause de sortie”, a-t-il admis, sans donner trop de détails : “Je ne la connais pas très bien… “. D’après le journaliste Edu Aguirre, elle s’élèverait à 58 millions d’euros. Une somme qui pourrait refroidir certains prétendants, mais pas nécessairement le Real.

En coulisses, l’idée fait déjà son chemin. « Un ami m’a appelé et m’a dit : Va au Real Madrid ! », confie-t-il en souriant. S’il assure ne pas prêter trop attention aux rumeurs, Huijsen ne ferme aucune porte. Fan déclaré de Sergio Ramos, il sait que les grands clubs observent de près son évolution. Et l’été prochain pourrait bien tout changer.

Léo Seguin

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