L’Uruguayen, qui a connu plusieurs grandes finales avec le Real Madrid, aborde cette confrontation avec un état d’esprit plus serein, indique MARCA. « Je me souviens de ma première finale de Ligue des champions, j'étais nerveux toute la journée, je ne savais même pas quoi faire », confie-t-il, en repensant à son stress initial. Mais au fil du temps et des matchs, Fede Valverde a appris à mieux gérer la pression, ce qui rend l’expérience plus excitante. Sa capacité à prendre du recul et à profiter de ces moments intenses est désormais un atout dans ces rendez-vous décisifs.
S’il reconnaît que jouer contre Barcelone apporte une saveur particulière, il souligne qu'une finale, quelle qu'elle soit, demande une préparation rigoureuse. « Nous voulons gagner pour nos supporters, leur offrir une soirée inoubliable », déclare-t-il. Une mentalité de vainqueur qu’il met en pratique au quotidien avec ses coéquipiers.
L’importance de l’unité et de l’engagement collectif selon Valverde
Pour Valverde, l’une des clés pour décrocher la victoire en finale réside dans l’unité du groupe. Dès l’échauffement, chaque joueur doit être concentré et solidaire. « Ce n’est pas un joueur qui remporte un titre, c’est l’équipe », insiste-t-il. L’Uruguayen rappelle qu’une finale se gagne en restant soudé, et en s'assurant que chaque membre de l’équipe soit prêt à se sacrifier pour la réussite collective. Ce message est d’autant plus pertinent dans une compétition comme la Copa del Rey, où des joueurs moins sollicités durant la saison ont souvent un rôle crucial à jouer dans le parcours vers le titre.
Fede Valverde n’oublie pas non plus d’évoquer les joueurs de l’ombre, ceux qui participent aux matchs de Coupe avec peu de temps de jeu durant la saison. « Ils méritent tout notre respect, car leur contribution est déterminante », souligne le joueur.
Ce match contre le Barça, bien plus qu’un simple affrontement sportif, est donc pour Valverde une occasion de démontrer l'importance de l’unité et de l’esprit collectif pour triompher sur la scène nationale.
Léo Seguin
