Le « catenaccio » italien, le « football totale » néerlandais, ou plus récemment le « gegenpressing » allemand. Depuis les débuts de son expansion mondiale à la fin du XIXᵉ siècle, le football a constamment fait preuve d’une grande souplesse d’adaptation. Mieux, cette pratique s’est identifiée au fur et à mesure du temps comme une poche de résistance des identités tant sociale que culturelle. Des styles de jeux, mais surtout des clubs, comme le Real Madrid, occupant une place à part entière dans la société à différentes échelles.