En conférence d’avant-match, Carlo Ancelotti est revenu sur la confrontation face à l’Union Berlin qui attend le Real Madrid en Ligue des champions. L’occasion de s’exprimer sur l’enjeu du match, le retour de Kepa dans les buts et les possibles rotations dans l’effectif.
6 victoires sur 6 : « Nous voulons bien finir, avec une bonne image. Nous devons respecter l’adversaire. »
Bellingham : « L’idée est de voir comment ceux qui ont joué ont récupéré. Ils ne sont pas fatigués. Ce n’est pas un problème. L’idée n’est pas de faire des rotations juste pour le plaisir. Seulement s’il y a un risque. »
Le favori pour la Ligue des champions : « Le Real Madrid, par son histoire, est toujours candidat. Gagner la Ligue des champions est toujours compliqué. Nous voulons nous battre jusqu’au bout. »
Changement à l’Union : « Ils ont changé d’entraîneur et de système. Maintenant, c’est plus offensif. Ce sera un match équilibré. »
Nenad Bjeliça : « Il a passé une semaine à Madrid à nous regarder nous entraîner. »
La hiérarchie des gardiens selon Ancelotti : « Kepa jouera. Je ne me pose pas la question de savoir si c’est juste ou injuste. Lunin a eu l’occasion de jouer et a montré qu’il était un gardien fiable. Nous sommes très heureux. »
Nico Paz : « Il est possible qu’il joue. »
Les légendes et leur avenir : « Je ne suis pas une légende, juste un entraîneur. Les légendes sont les joueurs et ce sont eux qui devraient prendre leur retraite au club. »
Ancelotti sur Kroos : « Je le vois à un très bon niveau, lui, Modrić et Nacho ont mérité de choisir leur avenir. »
Barcelone-Gérone : « C’était un match très divertissant en tant que supporter. Je m’arrête là. Je ne devrais pas me lancer dans une analyse tactique. La capacité de Gérone à être là où elle est à ce stade est surprenante. »
Ancelotti sur Brahim : « Son passage à Milan lui a fait du bien. Tactiquement, il se positionne toujours bien, ce qui n’est pas normal pour un attaquant avec tant de qualités techniques. »
Kaká-Bellingham : « Jude a plus de qualités dans le jeu sans ballon. De plus, le fait de ne pas jouer avec un attaquant fixe lui donne plus d’espace que Kaká n’aurait pu en avoir, car il s’agissait alors d’un système différent et plus compliqué pour lui. »