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Affaire Mbappé : un nouveau témoignage publié dans la presse suédoise

30 octobre 2024Rédaction Le Journal du Real
MADRID, SPAIN - SEPTEMBER 17:Kylian Mbappe of Real Madrid looks on prior to the UEFA Champions League 2024/25 League Phase MD1 match between Real Madrid CF and VfB Stuttgart at Estadio Santiago Bernabeu on September 17, 2024 in Madrid, Spain. (Photo by Angel Martinez/Getty Images)

Un témoignage a été recueilli par Aftonbladet concernant la plainte pour viol reçu par la police suédoise et qui ciblerait Kylian Mbappé. La femme, présente lors des soirées du Français, l’a trouvé particulièrement normal.

Le tabloïd suédois Aftonbladet, qui a révélé, avec l’autre titre de presse Expressen, la plainte pour viol qui ciblerait Kylian Mbappé, a obtenu le témoignage d’une femme qui a participé aux soirées du Français à Stockholm.

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Les soirées de Mbappé « presque banales »

D’après ses dires, l’attaquant madrilène aurait enchaîné deux soirées les 9 et 10 octobre. La première aurait été assez arrosée, tandis que la seconde aurait été plus calme. À chaque fois, une vingtaine de femmes étaient présentes. “Nous avons dû laisser les téléphones sur une table. Son garde du corps et son manager étaient dans la pièce pendant tout ce temps”, raconte-t-elle.

C’était, selon elle, des fêtes tout à fait normales, même si les filles étaient assez nerveuses à cause de la présence de Kylian Mbappé. La témoin a trouvé la plupart des filles mal à l’aise, tandis qu’elle décrit le joueur comme “très calme, humble, bien élevé et encadré en permanence”. Son équipe ne l’aurait pas lâché d’une semelle.

La plainte déposée pour viol à la police suédoise le 15 octobre affirmerait que les faits se seraient déroulés après la soirée du 10 octobre au Bank Hotel où le Madrilène et ses amis résidaient. D’après le joueur, il aurait bel et bien eu une relation sexuelle ce soir-là mais celle-ci aurait été consentie et il aurait fourni à la police des échanges de messages qui attesteraient du consentement de ce rapport. Pour le moment, aucune autre information n’a filtré du dossier, deux semaines après l’ouverture de l’enquête.

François Simonin

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