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Quand le Bernabéu gronde, le Real Madrid répond par un miracle

2 avril 2025Rédaction Le Journal du Real
MADRID, SPAIN - APRIL 01: Endrick of Real Madrid celebrates after he scores his teams first goal during the Copa del Rey semifinal match between Real Madrid and Real Sociedad at Estadio Santiago Bernabeu on April 01, 2025 in Madrid, Spain. (Photo by Angel Martinez/Getty Images)

Le Real Madrid continue de défier toute logique. Même ses anciennes gloires, comme Pedja Mijatovic, peinent à expliquer cette capacité unique à renverser des situations impossibles, comme lors de la qualification en finale de la Coupe du Roi face à la Real Sociedad.

Le Real Madrid a encore frappé. Menés au score cumulé et avec quatre buts encaissés, les hommes de Carlo Ancelotti ont une nouvelle fois défié la raison. Un but salvateur de Rüdiger dans la prolongation a changé le destin du match, offrant au Bernabéu une nouvelle soirée de folie. Un scénario qui s’inscrit dans l’ADN du club, où l’inexplicable devient presque une habitude.

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Même les légendes madrilènes restent sans réponse face à ce phénomène. Pedja Mijatovic, buteur en finale de la Septième Ligue des Champions en 1998, a tenté d’exprimer son incompréhension devant cette dynamique unique : « J’étais avec des amis en train de regarder le match, et tous me demandaient : ‘Quand est-ce que le Real Madrid va arrêter de faire ce genre de choses ?’ Et je leur répondais… Jamais ! Jamais les gars, jamais ils ne vont arrêter de le faire ! » a-t-il confié à Relevo.

Real Madrid : Mijatovic critique les sifflets du Bernabéu Si Mijatovic admire cette capacité hors norme des Merengue, il a cependant pointé du doigt un moment qui l’a interpellé : les sifflets du Santiago Bernabéu lorsque l’équipe était en difficulté : « L’aficionado du Madrid est habitué à ce que son équipe lui offre un spectacle. Le Real Madrid n’a pas le luxe de jouer de manière un peu molle. »

Une exigence extrême, qui peut sembler dure, mais qui pousse aussi le club à se surpasser encore et encore. Car au Real Madrid, abandonner n’est jamais une option.

EDGAR YON

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