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Le Real Madrid a un premier obstacle sur son passage. Le Mondial des clubs 2025 a démarré sous une chaleur accablante, et les stars du football mondial en font déjà les frais. Alors que la compétition se déroule sur le sol américain, les températures flirtent avec les 32 °C, accompagnées d’un taux d’humidité dépassant les 60 %. Un cocktail éprouvant pour les organismes, qui transforme chaque match en défi physique majeur. Et les premiers concernés n’hésitent plus à hausser le ton. Le choix de programmer les rencontres à des horaires adaptés au public européen – souvent entre midi et 15 h, heure locale – complique encore la donne. Le choc PSG–Atlético de Madrid, disputé en plein cagnard au Rose Bowl Stadium, en est la parfaite illustration : 32 °C, 60 % d’humidité, et des joueurs à bout de souffle. « Le match a été clairement marqué par la température. C’est bien pour que l’Europe puisse le voir, mais sur le terrain, c’est très dur », a dénoncé Luis Enrique dans les colonnes de Marca. Marcos Llorente, exténué, a résumé l’épreuve avec une formule choc : « J’avais mal… jusqu’aux ongles des pieds. »