La troisième journée de Liga se clôturait, ce dimanche, par le déplacement du FC Barcelone sur la pelouse du Rayo Vallecano. Ce match a été marqué par de lourds problèmes techniques liés à la vidéo assistance à l’arbitrage (VAR) laissant ainsi l’arbitre Mateo Busquets, seul décisionnaire de la rencontre durant toute la première période. L’arbitre espagnol n’a donc pas eu la possibilité de communiquer avec le service VAR, ni même de revoir et d’affirmer ou d’infirmer ses décisions.
À la 37e minute, Lamine Yamal entre dans la surface de réparation et s’écroule dans celle-ci après un contact avec le défenseur du Rayo, Pep Chavarria. Nul doute pour Mateo Busquets qui saisit alors son sifflet et accorde un penalty aux barcelonais, sans la possibilité que le VAR intervienne. Le penalty est, dans la foulée, transformé par le jeune barcelonais. C’est dans ce contexte que Luis Cobos, journaliste pour le média OK Diario a aperçu, avant la rencontre, le président du comité des arbitres, accompagné du président du FC Barcelone, Joan Laporta.
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Laporta et le FC Barcelone favorisé par l’arbitrage ?
La rencontre, qui s’est finalement soldée sur un match nul, un partout, après l’égalisation de Fran Pérez, à la 67e minute, a suscité de vives réactions dans la sphère du football. Précisément, ce sont les échanges entre Joan Laporta en train d’échanger avec des supporters adverses, et juste derrière lui, Fran Soto, président du comité technique des arbitres, qui ont fait grincer des dents.
Alors que la sphère du football s’offusque, l’entreprise espagnole Mediapro, qui s’occupe de la vidéo assistance à l’arbitrage, a partagé, après la rencontre, un communiqué à propos du non-fonctionnement du VAR. « Un problème technique en lien avec le système électronique, dont les causes n’ont pas été déterminées, a empêché le bon fonctionnement du service du VAR durant la première mi-temps du match entre le Rayo Vallecano et le FC Barcelone. […] Mediapro travaille afin d’éclaircir les causes de l’incident ».
Un nouveau mystère donc concernant le club dirigé par Joan Laporta et l’arbitrage, alors que l’affaire Negreira continue de planer au-dessus des têtes catalanes.
Enzo Belleval
