Il n’y a pas une seule journée en Liga où il n’y a pas de contestation envers les décisions arbitrales. Le derbi de Madrid, joué samedi dernier, n’a pas manqué à la règle du côté du Real Madrid qui conteste plusieurs situations litigieuses. Lundi 29 septembre, le Comité technique des arbitres (CTA) est revenu sur le match arbitré par Javier Alberola Rojas.
La Casa Blanca conteste quatre décisions arbitrales. Parmi elles : une potentielle faute de Le Normand sur le premier but de l’Atletico, la faute de Nico González sur Carvajal qui aurait mérité un carton rouge, le deuxième carton jaune de Sorloth lorsqu’il est allé célébrer avec les supporters et une seconde faute de Le Normand sur le quatrième but des Colchoneros. Pour toutes ces situations, Marca dévoile que le CTA considère qu’il n’y a pas eu d’erreurs d’interprétation.
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Le CTA n’a pas déclaré d’erreurs de la part d’Alberola Rojas
Les conclusions de l’intervention du CTA, depuis le début de la saison, montrent que les responsables du monde de l’arbitrage espagnol souhaitent éclairer publiquement les nouvelles règles de l’utilisation de la VAR. En effet, il y a quelque temps, cet outil était utilisé deux à trois fois par match, or aujourd’hui, il est beaucoup moins utilisé.
Le message lancé est clair : le chef de la rencontre est l’arbitre principal. Ses décisions doivent prévaloir, sauf en cas d’erreur manifeste, là où la VAR doit intervenir. Si la situation dépend de l’interprétation et peut changer d’une personne à l’autre, l’arbtrage vidéo n’intervient pas et laisse l’arbitre décider. La Fédération espagnole de football estime que la tendance générale de l’arbitrage est bonne et que le travail de communication et de transparence du CTA continue d’agir correctement, bien que certains ne soient pas d’accord.
Enzo Belleval
