Trent Alexander-Arnold fait son retour à Anfield ce mardi, là où tout a commencé pour lui. Après 21 ans passés au club, c’est avec la tunique du Real Madrid qu’il se présente, devant un public qui lui a tout donné.
Malgré un départ du club en tant qu’agent libre cet été, le latéral droit anglais a toujours sa fresque à Anfield Road. Selon AS, celle-ci a connu quelques actes de vandalisme, mais reste intacte. Sur cette œuvre, on peut lire :”Je ne suis qu’un type normal de Liverpool dont le rêve est devenu réalité”. Une déclaration qu’il avait faite après avoir remporté la Ligue des champions avec le club de sa vie en 2019.
Dans ces rues remplies d’Histoire, ou les légendes de Liverpool sont représentées, le numéro 66 figure parmi elles. Des entraîneurs comme Bill Shankly, et des joueurs comme Van Dijk ou Diogo Jota sont représentés. Ce signe est fort de la part des supporters. Depuis quelques jours, la fresque du joueur anglais retient l’attention de bon nombre de supporters, touristes et amateurs de football. Est-ce qu’un joueur qui a quitté le club librement est légitime d’avoir une fresque en son nom ? La question divise les supporters.
Le mur de Trent vandalisé avant la rencontre
Ce mardi matin, le mur représentant Trent Alexander-Arnold à Anfield Road a été vandalisé avec le mot rat, inscrit en espagnol pour désigner l’ancien latéral droit des Reds.
Le prince anglais revient dans son royaume, malheureusement, il n’est pas sûr qu’il le retrouve comme il l’a laissé. En effet, certains fans se sentent trahis par le numéro 66.
C’est pourquoi, même s’il n’est pas annoncé titulaire, le latéral droit devrait être sifflé par une partie du stade. Arne Slot et ses anciens coéquipiers ont, quant à eux, réservé un accueil chaleureux à Trent Alexander-Arnold. Reste à voir maintenant si les applaudissements prendront le pas sur les sifflets à Anfield.
Lambret Paul
