Pour Karim Benzema, « il n’y a pas de favori » face à Chelsea

par | 05/04/2022 - 13:04 | 0 commentaires

Avant d’affronter le champion d’Europe en titre, le Français s’est exprimé sur la rencontre à venir et en a profité pour nuancer le statut de favori.

Comme toujours, quand Karim Benzema parle de football, on se tait et on écoute. Ce mardi 5 avril, L’Équipe a publié un entretien de Karim Benzema. Il en a profité pour donner son impression avant de fouler la pelouse de Stamford Bridge. Au sujet de la formation de Thomas Tuchel, il commente l’idée selon laquelle les chances de victoires seraient égales des deux côtés. Le Nueve développe : « Il n’y a pas de favori. Regardez PSG-Real : on était favoris à l’aller, peut-être. Et au retour, le PSG est devenu ultra-favori. Donc ça ne veut rien dire. Chelsea est une très bonne équipe, on ira là-bas pour chercher un bon résultat. »

La définition d’un favori pour un Roi d’Europe

Par la suite, sa discussion Hugo Guillemet le pousse vers une analyse plus profonde de ceux désignés comme les favoris à la Coupe aux grandes oreilles 2022. S’il semble étonné que ce dernier compare le triplé de C1 entre 2016 et 2018, le Madridista développe son propos. Dans un premier temps, il précise qu’il « ne le voit pas du tout comme ça. »

Karim Benzema s’offre ensuite la rétrospective des trois favoris cités lors de l’interview. Ces derniers sont les Bavarois de Julian Nagelsmann, les Citizens de Pep Guardiola et les Reds de Jürgen Klopp. L’international français livre cette analyse : « Je regarde les matchs. Manchester City, leur objectif est de garder la balle et de faire une longue possession dans le camp adverse. Mais ils ne sont pas encore tombés contre une équipe qui les attaque bien dans le dos… C’est toute une stratégie de jouer contre eux. Liverpool, c’est pareil, ils sont très bons, mais surtout à domicile, avec leurs supporters et leurs individualités. Le Bayern, c’est une équipe qui marque des buts, mais qui en encaisse aussi beaucoup. Je vois leurs matchs, des fois, ils subissent des contres où ils sont deux défenseurs contre quatre attaquants. L’équipe qui me faisait le plus peur, c’était Paris. »

Erwan

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