Aujourd’hui, en début d’après-midi, c’est Antonio Rüdiger qui s’est frotté aux questions des journalistes. Le joueur idéal pour aborder l’adversaire du lendemain : le RB Leipzig. International allemand, le défenseur central du Real Madrid connaît bien certains joueurs adverses.
Débuts en Ligue des champions avec Madrid : « J’espère que je pourrai jouer. Jouer la Ligue des champions au Bernabéu est un privilège et un plaisir absolu. Il y a un peu de nervosité avant la rencontre. »
Nombre de buts : « C’est une de mes qualités, j’aime me projeter vers l’avant et marquer des buts. C’est un sentiment que j’ai en moi et je le travaille en permanence. Je cherche à marquer autant de buts que possible. L’année dernière, j’ai marqué cinq buts et cette année, j’aimerais en marquer davantage, mais surtout, je veux qu’ils soient importants. »
Timo Werner : « J’aime le voir jouer sur le terrain, mais cette fois, nous ne serons pas amis. L’un de mes objectifs sera de bien défendre sur lui. »
S’il s’énerve quand on essaie de le dribbler : « C’est ce que fait Vinícius, dribbler, et c’est tout à fait compréhensible que certains adversaires veuillent lui faire mal quand ils en ont l’occasion. J’ai moi-même essayé par le passé, il faut faire au mieux pour arrêter l’adversaire. Le dribble, c’est l’une des plus grandes qualités de Vinícius et il faut essayer de le stopper, mais toujours en respectant l’adversaire. Nous devons tous faire notre travail et il essaie de faire le sien pour que l’équipe puisse gagner. »
Neymar dit qu’il fait peur : « Je ne sais pas quoi répondre à cette déclaration. Je ne sais pas si je fais vraiment peur à qui que ce soit. Ce que j’aime, c’est être agressif, mais aussi être propre. Mes statistiques le disent, ces cinq dernières années, je n’ai pas eu de carton rouge. »
Adaptation : « C’est très important de parler quand on est sur le terrain. La communication, ça nous facilite la vie. Je l’ai vu tout au long de ma carrière. Sur le terrain, je parle espagnol et je pense que tout le monde me comprend. »
L’importance de Vinícius : « Je n’ai pas besoin de trop parler de ses qualités, Vinícius est un joueur incroyable et ça, tout le monde le sait. Il continue à faire ce qu’il a fait l’année dernière. Dans le vestiaire, il est calme, il prend du plaisir à jouer et sur le terrain, il fait tout ce qu’il peut. En tant que joueur, sachant que je peux compter sur son aide, je me sens beaucoup plus calme. De plus, c’est une personne calme et quelqu’un d’attachant. »
Son entente avec David Alaba : « Ce n’est pas moi qui décide avec qui je joue et c’est très bien comme ça. Lorsque j’ai joué avec lui ou Militão, il n’y a eu aucun problème de langue. C’est normal que nous parlions espagnol, nous sommes en Espagne. On n’apprend pas la langue en deux jours, mais comme je connais l’italien, cela m’aide. »
Évolution personnelle : « Avec l’âge, on acquiert plus d’expérience, mais aussi plus de maturité. Il y a toujours des erreurs et quand on est jeune, on doit se permettre d’en faire plus. Jouer dans un nouveau championnat m’aide à acquérir de nouvelles expériences. Avec le recul, je vois que, désormais, je sais mieux gérer les choses. J’ai plus de contrôle. »