Mauricio Pochettino est l’actuel sélectionneur des États-Unis depuis 2024. Passé par l’Espanyol Barcelone, Southampton, Tottenham, le PSG et Chelsea, l’Argentin s’est livré à Josep Pedrerol dans son émission « El Cafelito ». Étant une figure emblématique de l’Espanyol Barcelone, Mauricio Pochettino aurait pu jouer et entraîner le club de la Casa Blanca. À l’inverse, jamais, il n’a voulu être en lien avec le FC Barcelone.
Comme le souligne Marca, l’actuel sélectionneur des États-Unis est très attaché à son club de cœur : l’Espanyol Barcelone. « Mon identification à l’Espanyol est totale. Les gens m’ont toujours dit : “on verra si un jour, on te propose le Barça, on verra bien ce que tu diras”. Je peux dire que jamais je n’entraînerai le FC Barcelone. Ils disent que le Barça est plus qu’un club, mais que veulent-ils dire ? Qu’il faut endoctriner les jeunes à certaines idées ? Je pense que le Barça se trompe à ce sujet. Je pense que l’Espanyol est un club plus indépendant et bien plus catalan que Barcelone, bien plus ! », a indiqué l’Argentin.
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Pochettino ouvre la porte au Real Madrid
Outre son passage en lien avec l’Espanyol, Pochettino est revenu sur sa carrière de joueur, mais aussi d’entraîneur, en lien avec le Real Madrid : « En tant que joueur, j’ai eu l’opportunité de signer au Real Madrid, mais ça ne s’est pas fait. En tant qu’entraîneur, j’en ai eu plusieurs, mais parfois, ça se passe comme ça dans le football ». En effet, Mauricio Pochettino aurait pu rejoindre le club madrilène après son passage à Tottenham, mais étant sous contrat, le président du club anglais n’a pas donné son accord pour le départ de Pochettino à la Casa Blanca.
« Zidane s’en est allé et j’ai eu la possibilité de devenir le coach du Real Madrid. J’avais dit à Daniel Levy que je resterai jusqu’à la fin du chantier du nouveau stade. Mais à ce moment-là, je lui ai dit que j’allais partir à Madrid s’il était d’accord. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé par la suite. Je suppose qu’il n’a pas donné son accord. Je ne sais pas comment Florentino Pérez l’a pris, mais je n’étais sous contrat. Mais il vaut mieux plus tard que jamais », conclut l’Argentin, qui laisse donc une porte ouverte à entraîner, un jour, le Real Madrid.
Enzo Belleval
